« On a affaire à une héroïne drôlement attachante et à une écrivaine qu’on a déjà très envie de suivre. »
Helena Villovitch. Elle.
« À mi-chemin entre David Foster Wallace et Lucia Berlin, l’Américaine Jen Beagin signe un premier roman d’une liberté folle. Un grand coup de balai dans la morosité ambiante. »
Élisabeth Philippe. L’Obs.
« Une friandise pop qui mélange drame intime et « franchise craignos ». »
Grazia.
« Le premier roman de Jen Beagin n'épargne pas son héroïne, une femme de ménage totalement atypique, drolatique et énergique. […] Un Trainspotting au féminin ! »
Kerenn Elkaïm. Livres Hebdo.
« Je me promène joyeusement parmi les pages de On dirait que je suis morte de Jen Beagin, l’un des textes les plus marrants, les plus tordus et les plus rafraîchissants qui m’aient été donnés de lire depuis longtemps. »
The Observer
« Remarquable…sans compromis...tour à tour drôle à pleurer et profondément troublant... On dirait que je suis morte devrait rafler les suffrages des lecteurs comme des jurys de prix littéraires. »
Irish Times
« Un mélange de Mange, prie, aime d’E.Gilbert et de La Belle et la bête. »
Cosmopolitan
« Un premier roman incroyable. Singulièrement plaisant. »
Kirkus (Starred Review)
« Ce livre c’est un peu Eleanor Oliphant va très bien sous acide. Barré, marrant… et tout simplement excellent ! »
Goodreads, Sara Wingfield
« Ce roman m’a rendue accro à sa protagoniste, Mona (…). Un des textes les plus bouleversants que j’ai lus cette année »
Elle (Royaume-Uni)
« Jen est l’une des voix les plus rafraîchissantes que j’ai pu lire ces dernières années (…). J’ai dévoré On dirait que je suis morte emplie d’affection pour sa galerie de personnages imparfaits et leurs existences douces-amères. »
Jamie Attenberg, auteure de La Famille Middlestein