« L'amitié, la famille, les choix de vie : sentiments et sociologie font bon ménage sous sa plume pudique et harmonieuse - un ton bien à lui. Après Un hiver à Paris, plus grave, l'écrivain retrouve son registre sucré-salé dans ce joli roman, d'une profondeur qui ne dit pas son nom. »
Delphine Peras. L’Express.
« Indifférent, depuis son premier ouvrage, aux modes, Jean-Philippe Blondel explore à nouveau dans cette très belle fiction un espace romanesque singulier, le sien. »
Francine De Martinoir. La Croix.
« Il y a dans ce roman de l'empathie à revendre pour son prochain, la marque de Jean-Philippe Blondel qui parvient toujours à croquer ses contemporains avec une opiniâtre tendresse. Et débusquer derrière les clichés, la profondeur des êtres. »
Françoise Dargent. Le Figaro Littéraire.
« C’est nostalgique et joyeux à la fois, tendre et si réaliste aussi… On adore. Peut-être parce que quelque part, on a tous quelque chose en nous de Jean-Philippe Blondel. »
Cyril Cournoyer. Version Femina.
« Comme toujours chez Blondel, c'est réussi, drôle et tendre, faussement léger, vraiment profond. »
Jean-Claude Perrier. Livres Hebdo.
« Pas de rentrée d'hiver sans un Blondel ! Le nouveau, rond et chaleureux, ressemble aux précédents en plus abouti. »
La Montagne.
« On aime les personnages et leur fragilité, on aime cette histoire originale qui, sous des apparences légères, sonde par touches subtiles les âmes et les cours. »
L’Est Éclair.
« L'un des romans les plus délicats de ce début d’année 2016. »
Anne Smith. Télé 7 Jours.