« Un roman férocement drôle sur un apprenti écrivain très ambitieux. […] Extermination des cloportes, huitième roman de Philippe Ségur, déploie de manière virtuose un comique grinçant. […] À la façon de Métaphysique du chien ou du Rêve de l'homme lucide, Philippe Ségur signe une fable remarquablement incarnée, une sorte de périple initiatique qui s'achève par un retour à la nature tant espéré. »
Christian Authier. Le Figaro littéraire.
Chroniqué dans le feuilleton d'Éric Chevillard du Monde des Livres.
« Face aux contrariétés de la vie, reste l'humour, qui est l'arme fatale du narrateur de cette fable satirique au style débridé. »
Claire Julliard. L’Obs.
« Tel est l'art pince-sans-rire de Ségur : exagérer jusqu'au sublime la portée de chaque geste, chaque mot, chaque raisonnement, même le plus anodin, pour donner du sens et parfois de la hauteur à l’insignifiance de nos vies. »
Frédéric Mercier. Transfuge.
« Philippe Ségur signe une fiction burlesque au ton caustique. »
Sean J.Rose. Livres Hebdo.
« Philippe Ségur met en scène les déboires d'un couple englué dans le déni. Drolatique et faussement léger. »
Jeanne Ferney. La Croix.
« L'auteur de ce texte loufoque est professeur de droit constitutionnel. Est-ce à cette discipline qu'il doit un humour noir et pince-sans-rire ? »
Libération.
« Philippe Ségur, lui, a la vue sûre. Et ses personnages, tous burlesques nous font nous esclaffer. Mieux, ils nous consolent. Chez lui, pas besoin d'être un crack pour vivre heureux. Enfin, une bonne nouvelle. »
Laurence Caracalla. Le Figaro magazine.
« On connaît bien la prose ironique et distanciée de l'auteur, son goût pour l'absurde, le burlesque. Ce nouvel opus ne déçoit pas. »
Prima.
« Satire sociale, ce roman sympathique se rit des recettes à best-sellers, mais c'est surtout la tendre complicité du couple et l'humour face aux ennuis du quotidien qui l'emportent. »
Version Femina.
« L’humour l’emporte toujours avec cet auteur à l’optimisme chevillé au corps. […] Un roman vivifiant en ces sombres heures d’une société trop souvent résignée et manquant cruellement de fantaisie. »
Michel Litout. L’indépendant.
« Dommage que l'impayable Michel Audiard nous ait tiré sa révérence en 1985, il se serait précipité pour écrire le scénario de ce roman où l'imagination triomphe parfois du réalisme, et l'évidence absolue de l'invention. Une réussite littéraire. »
Anne-Marie Mitchell. La Marseillaise.
« Ce roman satirique et drôle est parfait pour commencer l'année en souriant. »
Bruno d’Epenoux. Télé Z.
« Burlesque et caustique, ce livre offre rire et légèreté, rire qui est aussi l’oxygène de la pensée et légèreté qui permet le lâcher-prise propre à la réflexion critique ! »
Michel Loyez, Librairie Livresse (Villeneuve-sur-Lot). Page des Libraires.