Moi à l’orgue dans une crypte, moi éprise d’un chien (je n’aime pas les chiens), moi subissant une déconvenue dans un café de Tokyo, moi en auteur anxieux, moi en fille et en mère, moi en amoureuse crédule, moi découvrant un secret de famille...…
Aventures et mésaventures, joies et déceptions, tout peut être aujourd’hui l’occasion d’un selfie, et notre époque a l’œil rivé sur le miroir. S’emparant de cette mode avec humour, Sylvie Weil renouvelle le genre de l’autoportrait en se livrant à un exercice inédit : le selfie littéraire.